L’histoire de Maria – quiz

Maria

Une agence de recrutement a offert à Maria un travail dans une entreprise internationale de vente de vêtements. On lui a demandé de donner ses papiers d’identité, et l’agence a promis de les lui rendre rapidement. Elle vit sur le site et le logement est déduit de son salaire. Les employés peuvent quitter l’entreprise une fois par semaine, accompagnés du superviseur, et sont très peu payés (moins que le minimum vital) sur une base mensuelle.

Après avoir reçu son premier paiement, Maria décide de partir le mois d’après, mais l’agence lui dit qu’elle ne peut s’en aller qu’après cinq mois, selon un document interne qu’elle n’a jamais vu.

À partir de cas pratiques OIT

Bonne réponse !

Le consentement n’est pas valide. On ne l’a pas informée des cinq mois de préavis, qui de plus sont excessifs, et il n’y a aucune garantie que l’agence la laissera partir ensuite. Les employés doivent être autorisés à quitter leur employeur avec un délai raisonnable et connu à l’avance.

Non, le consentement n’est pas valide. On ne l’a pas informée des cinq mois de préavis, qui de plus sont excessifs, et il n’y a aucune garantie que l’agence la laissera partir ensuite. Les employés doivent être autorisés à quitter leur employeur avec un délai raisonnable et connu à l’avance.

Bonne réponse !

Maria est menacée de sanctions car elle ne peut quitter son employeur librement (confiscation des paiers d’identité…)

Non, Maria est menacée de sanctions car elle ne peut quitter son employeur librement (confiscation des paiers d’identité…)

Bonne réponse !

Maria est dans une situation de travail forcé car son consentement n’est pas valable et elle est menacée de sanction. Lorsqu’elle a accepté de travailler dans l’entreprise, on ne lui a pas dit qu’elle avait cinq mois de préavis. La confiscation de ses papiers d’identité et son confinement dans l’entreprise représentent une menace qui l’empêche de partir.

En réalité, Maria est dans une situation de travail forcé car son consentement n’est pas valable et elle est menacée de sanction. Lorsqu’elle a accepté de travailler dans l’entreprise, on ne lui a pas dit qu’elle avait cinq mois de préavis. La confiscation de ses papiers d’identité et son confinement dans l’entreprise représentent une menace qui l’empêche de partir.